INTRODUCTION

17.3.07

Azouz Begag

Une information qui n'a pas de lien avec le vietnam, si ce n'est le passé historique du caillou, et qui mérite d'être relayée.





M. Azzouz Begag a quitté Nouméa lundi (5 mars). Sa visite a
été marquée dimanche à Bourail, village de la côte ouest, par l'hommage qu'il a rendu aux Algériens déportés en Nouvelle-Calédonie à la fin du XIXème siècle.

(AFP, 5 mars 2007)


Vous pouvez lire la suite ainsi que d'autres informations toutes aussi interressantes sur etudescoloniales.canalblog.com comme :

- Guerres de mémoire ou histoire : pour une vulgarisation de qualité
(Claude LIAUZU)

La parution d’un manuel d’histoire pour les écoles primaires de la Nouvelle-Calédonie risque de passer inaperçue dans la capitale des arts et des lettres. Pourtant, ce n’est pas un mince événement d’avoir élaboré une histoire partagée entre les diverses populations. C’est une contribution au devenir
commun qu’elles ont à construire à partir d’un lourd passé.
Cela sans complaisance envers les nostalgiques du bon vieux temps de la colonisation, ni envers les pénitents battant leur repentance sur la poitrine de leurs ancêtres, ni envers ceux qui se réclament du statut éternel de victime absolue. Cela aussi sans choisir le plus petit commun dénominateur entre Kanak, caldoches, descendants de déportés et bagnards, de petits colons, de Polynésiens et asiatiques. En acceptant leur pluralité, les auteurs (dont un seul Kanak, en raison du retard scolaire légué par le passé, regrettent-ils) ne se sont pas réfugiés derrière une impossible neutralité, n’ont esquivé aucun des grands problèmes auxquels sont confrontés les enseignants du «Caillou».

- biographie de Hô Chi Minh, par Pierre Brocheux

Présentation de l'éditeur

Grande figure du mouvement communiste
international du XXe siècle, Hô Chi Minh (1890-1969), le père de l’indépendance vietnamienne, a pâti ces dernières décennies des révélations sur les crimes de Staline et Mao, et apparaît relégué aujourd’hui dans la galerie des tyrans rouges sur lesquels pèse désormais l’opprobre universelle. Loin de redonner une virginité à «l’oncle Hô», cette biographie, écrite par un des meilleurs spécialistes français de l’histoire de l’Indochine, cherche à comprendre comment ce redoutable homme d’action, qui changea cent fois l’identité, connut l’exil pendant plus de trente ans dans toutes les régions du globe et manqua mourir mille fois, a pu devenir cette icône figée, emprisonnée sous la chape de plomb d’un mausolée qu’il désavouait, devenu objet de culte après avoir été élevé au rang de héros national et de génie tutélaire.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Les biographies de HCM sont intelectuellement malhonnetes, malheuresement , car elles souffrent toutes de cecite et d'amnesie au sujet des derives du parti apres la guerre, des contraditions entre l'ideologie et les faits.
L' elimination des partis democratiques par le parti communiste dans les annees 70.

Voir et revoir le mouvement des 100 fleurs et ce fameux texte intitule les geants sans coeur.

Mais le probleme est que les jeunes desormais s'interessent peu a cette epoque, et encore moins a la politique de leur pays, de plus il est par decret de loi, interdit de reviser l'histoire du parti et de ses menbres.

Frank a dit…

Je vois qu' on mélange un peu tout.
Parler des dérives d'apres guerre et des années 70 ferait un peu désordre dans une biographie de HCM vu qu'il est DCD en 69 soit bien avant.

Anonyme a dit…

hm oui 70 HCM etait dans son mauselee, mais JST raison sur un point: il y avait plusieurs partis a l'origine qui avaient tout de meme un seul but: l'independance VN... mais qui se sont bizarrement federes en un seul parti. Je vois ce que JSt essait de dire.

Par contre Le mouvement intelectuels des 100 fleurs est bien apres 70.